Tanulmányok
The Portrait of True Religion. An unknown work of Albert Szenci Molnár (1606)
This study seeks to explore the origin, background and meaning of an unknown work of the famous late Renaissance humanist, Reformed theologian, linguist and wandering Hungarian scholar Albert Szenci Molnár (1574–1634). The print is the oldest known early modern leaflet written in the Hungarian language. It was recently discovered in the rich print collection of the Rijksmuseum Amsterdam, after being lost for 150 years. The leaflet consists of a print engraved by Dominicus Custos (1560, Antwerp – 1615, Augsburg) depicting a crowned, winged woman as a personification of True Religion, and a conversation/dialogue and a fictive conversation between this figure and the supposed reader of the pamphlet in Latin and Hungarian. The female figure and the conversation were originally composed by the French theologian Theodore Beza (De Béze 1519–1605) in 1561. It was reused by the Flemish artist Hieronymus Wierix (1553–1619), for an allegory of the Pacification of Gent (1576), which was published by Pieter Balten(s) of Antwerp, the father of Custos (1525?–1584). The figure of True Religion was well-known everywhere in Europe as a symbol of protestant politics. It symbolised Providence, which ordained the destiny of Christian Europe in favour of the Protestants. Szenci Molnár deliberately chose this actual European symbol to promote his political ideas. The Religio image and text spread by Szenci Molnár became the symbol of the political compromise between the protestant estates and the Habsburg ruler of 1606 (Peace of Vienna). It was as such used several times after 1606 in other work of Szenci Molnár, Rimay János and others.
Le rôle de ’Hadi és Más Nevezetes Történetek’ (Histoires Militaires et autrement Notables) dans la formation de la publicité littéraire
Des organes de presse inaugurés à la fin du 18e siècle, ’Magyar Hírmondó’ (Messager Hongrois) de Pozsony, ’Mindenes Gyűjtemény’ (Collection Universelle) de Komárom, ’Magyar Kurir’ (Courrier Hongrois) de Vienne, et ’Magyar Museum’ (Musée Hongrois) comptent parmi les les plus connus et les plus souvent cités. Le journal, ’Hadi és Más Nevezetes Történetek’ (Histoires Militaires et autrement Notables), paru pour la première fois en juillet 1789, (de 1792 jusqu’en 1803 sous le titre de ’Magyar Hírmondó’ (Messager Hongrois), est beaucoup moins cité, son souvenir est presque totalement disparu, bienque dans son époque il ait été un journal populaire, honoré même de l’attention de nos plus grands écrivains. Ses rédacteurs - Demeter Görög et Sámuel Kerekes (fondateurs du journal) – ont été entourés d’une société, essayant de ramasser les représentants de la culture hongroise de Vienne, et ainsi, par eux et avec eux, ils ont aspirés à gagner d’autres également aux tendances littéraires et linguistiques hongroises, à trouver des défenseurs aux buts de leurs projets (éducation du public littéraire hongrois, développement de notre langue, littérature et culture), en même temps ils appartenaient également aux mécènes souhaités.
Dans l’étude présente surtout les concours en rapport du journal (le premier ouvrage de psychologie hongrois, le concours pour la défense de ’Magyar Nyelv’( Langue Hongroise) et Magyar Grammatika’ (Grammaire Hongrois) sont au premier plan, puisqu’ils sont de plusieurs point de vue importants pour le journal et pour l’époque. D’une part ils peuvent donner un point de départ à la découverte du’programme’ d’un journal, qui occupe une place spéciale parmi les organes de presse de son temps, d’autre part, à travers de ces concours la possibilité de l’institutionalisation de la littérature, les efforts académiques reçoivent également un accent, et finalement nous pouvons voir les relations des rédacteurs et de la société savante de Vienne, qui était en contact avec eux.
Die Heimische und Ausländische Korrespondenzen – und das außereuropäischen Welt
Die Hazai és Külföldi Tudósítások (Heimische und Ausländische Korrespondenzen) hat zu den ersten ungarischsprachigen Blättern gehört. Sie hat auch ausländische Nachrichten neben den heimischen Korrespondenzen am Anfang des 19-ten Jahrhunderts regelmässig veröffentlicht. Auf diesem Gebiet hat sie eine grosse Bedeutung, weil seiner Redakteur, István Kultsár (Stephan Kultsár) im Gegensatz zu Europa-Zentralisierung früheren Zeitungen merkwürdigerweise beachtet hat, auch historische und kulturgeschichtliche Ereignisse anderer Kontinente veröffentlichte. Die Leser in den ersten Jahrzehnten des ungarischen Reformzeitalters konnten so ein Bild über politische, kulturelle und gesellschaftliche Verhältnisse von den Nord- und Süd-Amerika, den Nahe und Ferne Osten und den Küstengebieten von Afrika bekommen. Unter den Quellen des Redakteurs haben auch deutsch-, englisch-, französischsprachige Zeitungen der aussereuropischen Welt figuriert. Das bekommt eine besondere Bedeutung, weil dies alles unter Zensurverhältnissen des Österreichischen Kaiserreiches nach Napoleon ermöglicht wurde.
Die Studie übersieht die zeitgenössischen Erinnerungen bezüglich der Zeitung von István Kultsár, sowie die Feststellungen der Fachliteratur. Sie zeigt mit deren Hilfe, wie ein engagierter Redakteur die Pressefreiheit, ein höchtiges bürgerliches Recht auch während der Zensur realisieren konnte, mit klugen Anwendungen der bestehenden Möglichkeiten, bauend auf verschiedenen Interessen unterschiedlicher Behörden. Anderseits macht der Verfasser der Studie Versuch, verschiedene Wertungen im XX. Jahrhundert aufzudecken, die – anstatt die Zeitung von István Kultsár in ihrer Gänze zu sehen und zu bearbeiten – sie im allgemeinen nur in einer im voraus bestimmten Hinsicht berücksichtigt haben. Trotzdem die Hazai és Külföldi Tudósítások (Heimische und Ausländische Korrespondenzen) mit seinen Nebenblättern eine wichtige Rolle in der Weltbildserweiterung der Leser neben der Förderung der Wiedererweckung der Nationaltraditionen mit den Nachrichten über anderen Kontinenten gespielt hat.
La tendance politique de la période neutre (1889–1898) de ’Csíki Lapok’ (Journal de Csík)
Dans l’histoire de plus d’un demi-siècle du journal, paru depuis 1889 à Csíkszereda, ’Journal de Csík’, le premier changement vraiment important est survenu après une décennie, losque l’hébdomadaire jusque-là neutre est devenu le porte-parole local de ’Szabadelvű Párt’ (Parti Libéral). L’autodétermination „au-dessus des partis” préalable était vrai seulement du point de vue que le journal n’était pas soutenu par aucun groupement politique. La tendance politique du journal a été décidé par les convictions politiques de ses rédacteurs: pendant neuf ans, le but de ’Csiki Lapok’ a été décidément de réveiller une attitude d’opposition, populaire parmi les Sicules de Csík, tandisque la dernière année de l’époque, le journal s’efforçait á un soutien modéré du gouvernement. La prise de position politique du journal pouvait être déduit des écrits en rapport des députés du département de Csík, et des compte-rendus des élections législatives. Dans cette période donc ’Csiki Lapok’ n’était pas un organe ouvertement politique, ne servait aucun parti politique, mais il restait un organe locale, qui s’occupait des questions administratives et socio-publiques du département.
A propos du directeur de rédaction de ’A Hét’ (La Semaine)
L’étude essaye de présenter l’activité du directeur de rédaction de ’A Hét’ (La Semaine), Sándor Hajdú. Il a rempli le poste entre 1891 et 1919, et comme le propriétaire-rédacteur, József Kiss l’avait avoué en vers également, il était sa ’main droite’; non seulement il avait soigné l’administration et les finances du journal, mais il avait assisté dans toutes les domaines son chef. Hajdú peut-être considéré comme un ’à-tout-faire’ patriarcal. La reconstruction de son activité, mème si esquissée, nous donne une image de la vie intérieure de ’A Hét’. Et puisque ’A Hét’ était une des institution pionnières de la modernisation de la vie culturelle hongroise, les relations de cet hébdomadaire nous montrent certaines choses du processus et des conditions de cette modernisation.
L’iconographie des ex-libris de rapport hongrois de la Bibliothèque Rudomino de Moscou
L’approchement de point de vue iconographiqe-iconologique des ex-libris, le contenu d’image, la découverte des motifs le contenant, sa présentation, son interprétation, peuvent servir de résultats ultérieurs dans le domaine des recherches de l’exlibrisologie.
Le sujet de l’analyse, les ex-libris de rapport hongrois du Département des Livres Rares de la Bibliothèque Nationale Russe de Langues Étrangères Rudomino de Moscou, sont bien déterminables dans le temps, ils sont exécutés dans les années 1960–70, tandisque par l’ensemble des motifs, ils peuvent être classés dans la catégorie des ex-libris à sujet, et symboles, à côté desquels, les pièces à texte oubien à motifs heraldiques sont en nombre minime. A partir le 18e siècle, la personnalisation toujours plus importante des ex-libris, la formation de l’ex-libris moderne a fait diffuser l’emploi des marques de livres à sujet, en revanche des marques préalables, aux motifs héraldiques. Les groupes les plus importants – à retrouver également dans la collection de Moscou – sont les suivants: représentation de livre, topographique, (paysage ou bâtiment), en rapport du vin et des repas, représentant des femmes, érotique, conservants des traditions folkloriques ou littéraires, à sujet mythologiques, ou historique, renvoyant aux arts, et portraits. Souvent peut-on renconter des marques exprimant d’un symbole caractéristique la profession du propriétaire, ou encore les marques présentant des idées abstraites, des mythes devenus parties de la tradition culturelle commune. Certaines pièces, de même par leurs inscriptions, renvoient à leur sujet, ex musicis, à la musique, ex numismaticis à la collection numismatique, ex philatelicis à la collection des timbres, ex vinis en rapport des vins, ex libris gastronomicis en rapport des repas, ex libris geographicis à sujet géographique ou de voyage, ex libris eroticis ou encore sex libris, signale une image à contenu érotique. La discursivité est à remarquer le plus évidemment dans le cas des images renvoyant au nom du propriétaire, des ex-libris’parlant’.
L’ex-libris donc peut-être interprété dans la relation interréférante du texte et de l’image, un ouvrage graphique, souvent à contenu symbolique, présentant son sujet de manière concentrée, dont la recherche demande les connaissances de plusieurs branches de science.
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