Tanulmányok
L'image de presse comme produit commercial – d'après l'exemple des revues illustrées de l'époque de l'absolutisme
La presse illustrée de Hongrie avait connu sa première floraison à l'époque entre la chute de la guerre d'indépendance de 1848 et le compromis austro-hongrois de 1867. Les éditeurs eux-męmes distinguaient trois types d'images: les images hors-texte, l'image mis en page et l'image de prime.
Les hors-texte sont représentativement des lithographies, tandisque les images mis en page sont des gravures sur bois. Conformément aux autres domaines de la culture de masse, la presse imprimée était profondément imprégnée des considérations commerciales, son fonctionnement a été remué de plus en plus par la logique de l'entreprise d'affaires. Puisque jusqu'à 1867 la loi de presse impériale avait interdit la vente libre des produits de presse périodique, la seule voie du recrutement des lecteurs était l'abonnement. Les lecteurs éventuels pouvaient ętre convaincus le plus efficacement par les images de prime attrayants.
Les images hors-texte augmentaient de manière démontrable l'effet attirant du journal. Certaines éditeurs déployaient une activité de publicité promotionnelle dans l'intéręt de leurs hors-textes. La vocation des publicités, explications d'images, parfois des dissertations scientifiques, oubien les poésies écrites sur les images, avait été l'augmentation de l'attrait des gravures offertes comme prime.
Les frais de production des images représentaient à peu près un tiers des coűts du journal. Les lithographies vendues dans les boutiques des marchands d'objets d'art, pour le prix de quelques forints étaient facilement accessibles pour les clients de classe moyenne. Leurs nombres d'exemplaires atteignaient rarement les un ou deux mille, ce chiffre était dépassé seulement par le nombre d'exemplaire de 10 à 20 mille de 'Vasárnapi Újság' (Journal de Dimanche), illustré de gravures sur bois. Les pages de prime de grandes dimensions, exécutées de manière exigeante, les éditeurs avaient destinés dès le début pour images encadrés. La situation de compétition toujours plus aigue entre les magazines illustrées inondait les pages des revues d'une foule de copies, de reproductions illégales et de réimpression, et cela avait émis de plus en plus aigrement les problèmes des droits d'auteur.
La première loi hongroise de droits d'auteur de caractère général s'est fait attendre jusqu'à 1884. Auparavant, le pręt d'images était une pratique permanente des revues illustrées, les entrepreneurs avaient réemployé plusieurs fois le męme étai dans les revues qu'ils ont soignés, par cette méthode économiques assurant à la fois une publicité plus grande aux oeuvres particuliers.
Un journal inconnu de Transylvanie, 'Sövényfalvi Hiradó' (Courrier de Sövényfalva) (1898–1899, 1902)
Lajos Kelemen, l'historien-archiviste, fondateur d'école, pendant ses études poursuivies à la Faculté des Lettres de l'Université des Sciences Royale François Joseph, avait travaillé comme instructeur auprès du fils unique de son chef, le notaire royal, István Gidófalvy, 'Pistuka', élève du Collège Réformé.
La famille, y compris l'instructeur, considéré membre de la famille, passaient les vacances d'été, généralement dans la maison du père de la femme du notaire, Károly Bede de Nagyborosnyó, où vivait sa veuve, Ida Szabó de Feltorja. En été 1898, la palette de la presse de Transylvanie s'est aggrandie d'un nouveau journal, la compagnie estivante d'enfants des parents et des amis a fait paraître le premier numéro du 'Courrier de Sövényfalva', bulletin hébdomadaire belletristique, économique et social. Dans son manifeste, le journal avait publié le programme du comité de rédaction: „Nous servons l'intéręt publique, donnons les nouvelles de tout événement important, et par cela nous allons encourager le développement de cette région." Les trois années (1898–1899, 1902) du 'Courrier de Sövényfalva' sont arrivées aux abonnés d'abord en reproduction manuscrite, puis lithographiée. Malgré ses petits articles de style humouristique, ses rubriques de caractère comique, le journal peut ętre considéré comme document important de l'époque. Il contient beaucoup de données d'importance d'histoire locale, qui peuvent s'ajouter aux connaissances d'histoire sociale et de civilisation de la région de Küküllő. L'amusement éperdu, joueur, et en męme temps utile avait forgé une communauté, dont les membres plus tard sont devenus des personnages importants de la société et de l'histoire de civilisation hongroise transylvaine.
Journal hongrois dans la capitale roumaine: 'Bukaresti Magyar Hírlap' (Courrier Hongrois de Bucarest)
Au cours des 19e–20e siècles, un exode important des Hongrois de Transylvanie s'est dégagé, en direction de Bucarest. Les Hongrois, installés là-bas, avaient formé leurs associations culturelles et religieuses, et de męme avaient fait paraître des publications, parfois des périodiques.
L'article présent fait connaître les précédents de l'édition du 'Courrier Hongrois de Bucarest', autant que son contenu, et les conditions de sa cessation, puisque le numéro analysé ci-devant de l'hébdomadaire, paru en dix numéro (à partir du 30 novembre 1926 jusqu'au 28 février 1927), autant qu'on le sache, n'est conservé qu'en un seul exemplaire, à la Bibliothèque de l'Académie de Bucarest (sous la signature: P.IV.8894) et ainsi dans la littérature spéciale hongroise restait jusqu'ici inconnu.
Le journal peut ętre lié à la représentation des intéręts des Hongrois de Roumanie, au mouvement de réforme de 'Országos Magyar Párt' (Parti Hongrois National). Son rédacteur en chef était le chef du parti, Miklós Krenner (1875–1968), qui a pręté son nom au journal, mais plus tard, à cause des divergences surgies dans la rédaction, il en a demandé l'enlèvement. Le journal, après une brève existence sans gloire, s'est éteint, sans qu'il puisse devenir le porte-parole du groupe de réforme, il n'a męme pas joué un rôle éminent parmi les journaux hongrois de Bucarest et de Roumanie d'entre-les-deux-guerres.
La presse des associations d'étudiants universitaires à l'époque de Horthy
Les organisations de jeunesse universitaires les plus importantes de l'époque de Horthy étaient les associations d'étudiants. Parmi elles, c'est la Fédération Turul, ayant la base la plus forte, qui plus tard, soit aggrandi en un réseau national. Parmi les importantes on compte encore l'Union des Techniciens Hongrois Hungária, formée à l'École Polytechnique, puis la Foederatio Emericana catholique, et l'Union Saint-Étienne légitimiste. Leur caractère était différent, et ces différences avaient mené souvent à des conflits, mais officiellement toutes ces organisations se considéraient association à caractère politiquement neutre, d'abord associtaion universitaire plus tard de plus en plus sociale. Leur fondement idéologique était commun: l'idée chrétienne-nationale, caractère militariste, antisémite et irrédentiste.
Le plus important de leurs buts était dès le départ, le début des années 1920, de former la vision de monde et d'idée de leur propre ère autant que celle des générations ultérieures. Rendre la jeunesse loyale envers la Hongrie 'chrétienne-nationale' et contrerévolutionnaire.
Dans ces aspirations un rôle très important est remis à la presse de jeunesse, qui, justement, due à la multitude de périodiques fondés par les associations d'étudiants, était variée et vivace. L'objectif de l'étude est de présenter les organes de presse les plus décisives des associations d'étudiants, ainsi que les plus importants de leurs publicistes, car beaucoup d'entre eux sont devenus des personnages publiques et politiques des années 1930.
Cet examen est important, d'une part, parceque la littérature spéciale antérieure ne s'en occupait pas du tout, d'autre part car il approche à la connaissance et la compréhension de l'esprit de l'époque, et ainsi à l'histoire de mentalité de la jeunesse de ces années.
Les derniers éditeurs de Jenő Rejtő
Jenő Rejtő appartient aux écrivains hongrois, les plus lus du 20e siècle. Il a travaillé de 1936 jusqu'à 1941 pour l'Institut Littéraire 'Nova', où il a fait paraître 19 romans de 12 cahiers, la plupart sous le pseudonyme P. Howard. Après la rupture avec 'Nova', il n'avait pas de difficulté à trouver un éditeur, puisqu'il est déjà devenu auteur connu, malgré le pseudonyme. D'abord il a conclu un traité avec les Éditions 'Csillag', qui a publié uniquement des colportages, mais la firme n'a pas connu une longue activité. Après cela, les Éditions 'Aurora' avait publié deux de ses oeuvres. Cette firme était déjà plus importante, liée au quotidien politique 'Magyar Nemzet' (Nation Hongroise), il a fait paraître plusieurs publications libérales, à tendance de gauche, qui, vue les conditions politiques de l'époque l'avait relevée parmi les autres éditions du męme genre.
Rejtő – à l'époque déjà souffrant d'un état nerveux assez aggravi – avait rompu avec 'Aurora', car selon lui les colportages publiés par 'Aurora', étaient de mauvaise qualité, souvent pleines de fautes, ou encore remaniés. Après quoi il a trouvé une autre firme d'édition de colportage 'Közművelődési Könyv – és Hirlapterjesztő Kft.' (Société Anonyme de Diffusion de Livres et de Pé-riodiques de Civilisation), mais enfin il n'y a fait paraître aucun ouvrage. Son dernier oeuvre, remis par lui à la publication, est paru chez l'édition de Margit Soóky, mais vraissemblablement le roman est arrivé en librairies seulement après la mort de l'écrivain, car Jenő Rejtő est mort au début de l'année 1943, au cours de son service de travail obligatoire, en Ukraďne.
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