Tanulmányok
Die Landeshauptaufsichtsbehörde des Szekler National Museums, der Bibliotheken und Museen
Die Studie stellt die Geschichte der Verbindung zwischen dem Szekler -National -Museum (Székely Nemzeti Múzeum) und dem Landesoberinspektorat der Museen und Bibliotheken (Múzeumok és Könyvtárak Országos Főfelügyelősége) vom Gründungsjahr 1879 bis 1918 vor.
Bei der Durchsicht der fünfzig Jahre hat als Hauptquelle, das von Vilmos Csutak zusammengestellte Verlagswerk Emlékkönyv a Nemzeti Múzeum 50 éves Jubileumára (Festschrift zum 50 jährigen Jubiläum des Museums) gedient. Die Planung- und Ausführungsgeschichte von Museumsgebäude die staatliche Unterstützung, die Verbindung des Institutes mit dem Landesoberinspektorat der Museen und Bibliotheken, wurde mit der Übersicht der zeitgenössischen Presse, sowohl mit den persönlichen Archivforschungen kartographisiert.
Die Verfasserin ist durchs Durchstudieren des Archivmaterials sowie der Exemplare von Múzeumi és Könytári Értesitő (Museum- und Bibliotheksanzeiger) zu den Kenntnissen gelangt, die sie in ihrer Studie summiert und auf deren Grund der Leser sich ein vollständiges Bild über die wechselvollen ersten 50 Jahren der Geschichte des Szekler National Museums, über seine Umzüge, die Bauplanung, den Bau, die Erweiterung Bereicherung der Sammlung, also über die Epoche wo Sepsiszentgyörgy (Sanktgeorg) noch zu Ungarn gehörte und das Museum noch die nationalen Schätze Ungarns bereicherte.
1910 wurde der Bauplan von Károly Koós fertiggestellt. Auf Grund dieses Planes hat man das Museumsgebäude in 2 Jahren errichtet, aufgebaut.
Der Museum- und Bibliotheksanzeiger (Múzeumi és Könyvtári Értesítő) berichtet detailliert über die Geldspenden des Oberinspektorats, sowie über die materiellen Hilfen der Szeklerkomitats. Denen ist zu verdanken, dass das wunderschöne Gebäude auch heute noch steht, das Institut funktioniert und behütet die Staatsgrenzen überspannende Kontinuität der ungarischen Kultur.
L'histoire du journal sportif 'St. Georges'
Le journal sportif 'St. Georges' a démarré en 1924, comme le magazine de la Fédération Nationale des Clubs de Sport Équestre Hongrois. Son but a été d'améliorer la situation handicapée des sports équestres et de l'élevage de chevaux après la guerre mondiale et des révolutions. Le rédacteur en était Ernő Massány, journaliste sportif. Le journal a cessé d'exister après six numéros, plus tard, en 1925 avec un sous-titre changé il a été renouvelé grâce à l'aide financière du comte Ede d'Orsay, commandant à l'armée hongroise. A vrai dire, à l'arrière-plan, c'est la remonte, la section s'occupant de l'élevage de chevaux de l'armée hongroise, et le Ministère de l'Agriculture autant que le Ministère de la Défense Nationale qui sollicitaient le renouveau de cet organe. Dans le conseil littéraire du journal jouaient également un rôle important les officiers, surtout après le départ de Massány. Alors, c'est Ferenc Kiss, général de division, président délégué de la Fédration Nationale des Clubs de Sport Équestre Hongrois, qui est devenu rédacteur en chef. Le journal 'St Georges' – quoique s'occupant de plusieurs sport – en réalité était l'organe de la vie équestre, et des différents concours équestres olympiques et militaires. Le journal publiait des photos de bonne qualité, imprimées sur papier excellent, les auteurs de ses articles étaient les meilleurs spécialistes (souvent reconnus à l'étranger également) de la vie équestre hongroise. Des études d'histoire de civilisation en rapport des chevaux, autant que des écrits belletristiques à sujet sportif sont aussi parus. Pendant la deuxième guerre mondiale, le niveau et l'étendue du journal avaient diminué, toutefois il est paru régulièrement jusqu'en automne 1944.
'Napkelet' (Orient) et la critique artistique - Rapport aux tendances idéologiques déterminantes de l'époque
La périodique 'Napkelet' (Orient) a été fondée en 1923 à l'initiative personelle de Kuno Klebelsberg. Le magazine littéraire conservatif jouait un rôle précurseur surtout dans le domaine de la formation de la langue spéciale, et du vocabulaire des nouvelles branches artistiques et scientifiques, comme la théâtrologie, théorie de film etc. Grâce à l'activité de quelques chefs de rubrique inventieux, 'Napkelet' comptait autant parmi les périodiques innovateurs que l'organe dirigeant de l'opposition libéraliste (Nyugat) (Occident), dont la palette était plus large, mais dans les domaines mentionnés ci-dessus restait aux généralités. La vision historique plus large de l'école d'histoire d'esprit exerçait une influence déterminante au traitement de nouveau point de vue de la théorie d'art, se présentant dans 'Napkelet'. Les conceptions des fondateurs du magazine ne sont réalisées qu'en partie. La majorité des auteurs importants ne s'étaient pas liés au magazine, sauf László Nmeth.
Dans la plupart, des oeuvres ultra-conservateurs donnent son caractère (des noms comme Pilinszky, Sophie Török, János Kodolányi, Emil Kolozsvári Grandpierre, Géza Ottlik, György Rónay, István Sőtér, Áron Tamási, Jenő Tersánszky, Lajos Zilahy etc. ne s'y figurent que occassionnellement), toutefois grâce à l'activité de rédacteur de haut niveau de János Horváth, au départ, 'Napkelet' possède un rubrique de critique et d'essais, répondant aux actualités me^me. La critique artistique était très fort dans le magazine, y entendu avant tout la critique théâtrale. Les critiques des représentations de théâtre ont été dues à des spécialistes excellents (Antal Németh, Tivadar Rédey, Sándor Galamb). Dans les années 1932–35, le rédacteur responsable était me^me Antal Németh. A l'époque de son activité, plusieurs écrivains et savants importants avaient fait paraître des articles dans le magazine: Ervin Baktay, spécialiste de l'Asie, Dénes Bartha musicologue, Sándor Pethő rédacteur en chef de 'Magyar Nemzet', Jolán Kádár Mme Pukánszky théâtrologue, György Márchis, Zoltán Szabó, Béla Hamvas etc.
Antal Németh représentait une point de vue plus ouverte et plus libérale vers les différentes tendances de politique artistique et culturelle, et de la progression artistique, tel que avant-garde, en comparaison du rédacteur en chef de l'époque, Cécile Tormay. Elle me^me avait reconnu les effets bienfaisants des reportages théâtrales de Németh, écrits à l'occasion de ses voyages en étranger, (Cologne, Munich, Paris etc.) à la rubrique théâtrale du magazine.
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